Alors que je dois veiller mon fils qui est (bien) malade, je profite de ces heures nocturnes pour écrire un article dont j’ai parlé il y a un moment : le bilan un an après de mon rôle de maman. D’accord, j’ai un peu de retard, mais on m’a toujours après que « mieux vaut tard que jamais ». Allons-y !
L’allaitement au masculin
Un enfant se fait à deux, et vu le travail que c’est, ce n’est pas du luxe ! Du coup, je vous propose de découvrir le point de vue du papa ponctuellement sur différents sujets.
Et comme j’en ai déjà beaucoup parlé sur ce blog, je vous propose de voir l’allaitement sous l’œil du Papa.

Travailler, c’est pas si dur !
Dormir par contre… ce n’est pas la même chose !
Comment concilier travail et nouvelle vie de maman, travail et le manque de sommeil, travail et l’allaitement, travail et soi-même en tant qu’individu qui change. C’est la question qui m’a occupée quelques mois, qui aujourd’hui reste parfois en suspens, mais à laquelle j’ai tout de même réussi à répondre suffisamment précisément pour en parler aujourd’hui.
Le câlin en marchant
Depuis que j’ai mon bébé, l’activité que je préfère le plus reste de lui faire des câlins. Moi qui ne suis pas particulièrement tactile en temps normal, j’aime le sentir contre moi. J’ai découvert ce bonheur avec le peau à peau en maternité, et je souhaite continuer à avoir cette sensation aussi longtemps que possible.
Alors non je ne promène pas seins nus en pleine rue avec mon petit en couche contre moi, ce serait bizarre et peu respectueux des besoins en chaleur de mon bébé. Mais j’ai trouvé une super parade !
La sucette, responsable de ma culpabilité
Je vous racontais comment mon tout petit ne prenait plus de poids, et comment j’ai galéré à trouver des réponses et à mettre en place certaines choses.
Je vous rassure, bébé a repris du poids et cela progresse petit à petit. Malgré tout, je dois continuer un suivi hebdomadaire. Seulement, après y avoir bien réfléchi, j’ai trouvé la raison de ce problème : la sucette.
Souvenir d’une journée bouleversante
Ce blog n’existerait pas sans cette journée-là, sans ce moment-là… Non je ne parle pas de la procréation, rassurez-vous ! Mais de l’accouchement. Un accouchement que j’ai voulu 100% nature, sans aucun artifice, seulement Papa, moi et bébé.
Laissez-moi vous raconter comment j’ai réussi à accoucher selon mon projet de naissance : sans péridurale, sans stress, dans l’échange et en ayant un moment à 3.
Un planning de ministre
Quand on devient maman, le temps se modifie. Il se raccourcit, se tord, se défait, se remet en place. Il suit une courbe qu’on ne connait pas, qu’on ne comprend pas, sans pouvoir l’arrêter. En tout cas, c’est bien ce que j’ai ressenti et ce que je ressens encore.
Parce qu’avoir un bébé, c’est accepter d’avoir un petit être qui ne dépend que de soi, qui ne peut rien faire tout seul. Et donc accepter de ne plus avoir de temps pour soi les premières semaines (mois ?).
Ce corps que j’habite
Quand on tombe enceinte, on sait qu’on va avoir le ventre rond, les seins qui gonflent, un corps qui se modifie et on pense être prête. Et puis on se dit ensuite que c’est temporaire, qu’après l’accouchement les choses reviendront dans l’ordre, et que ça ira.
Mais bien sûr, ce n’est pas si simple, pas pour toutes les mamans, pas toujours. Notre corps devient un peu un étranger du quotidien qu’il nous faudrait apprendre à connaître. Tout en espérant pouvoir le reconnaître un jour.
Tout allait bien, quand soudain…
L’allaitement, ah l’allaitement. Je vous en ai beaucoup parlé jusqu’ici, et je vais continuer encore un peu. Parce que je ne souhaite pas arrêter cette pratique pour le moment, et que même si je suis déterminée et que je n’ai plus mal, ça reste très compliqué à gérer.
Voici donc la nouvelle problématique du moment. Après avoir pris 1kg par mois pendant 2 mois (ce qui était très bien), le voilà qui ne prend que 100g à son 3ème mois. 100g, ce n’est pas assez. Alors même si monsieur a pris 3cm, si je n’arrive pas à le remplumer il devra prendre des compléments… Hors de question d’abandonner si vite.
L’heure de la séparation a sonné
Je n’ai jamais souhaité être une mère au foyer. Cela ne me convient pas. Quand je reste seule chez moi, je finis par dépérir et ressembler à un roseau dans sa rivière. Vous allez me dire : « Tu n’es pas seule, tu as ton bébé ». Oui, c’est vrai, seulement les échanges avec lui sont encore très limités.
C’est donc avec plaisir que j’envisage de reprendre le travail, pas plus tard que dans 3 jours au moment où vous lirez ce billet. Pour cela, passage obligatoire dans un mode de garde pour bébé qui ne sait pas encore s’auto-gérer. Et chez nous, ce sera crèche !